Un avant-goût du FTA 2022
Un avant-goût du FTA 2022
Le Festival TransAmériques dévoilait, ce jeudi, 5 spectacles de danse et de théâtre, question de donner un aperçu de la première programmation signée Martine Dennewald et Jessie Mill.
C’est une grande épopée africaine, provenant du Nigeria, qui ouvrira le bal, avec Re:Incarnation, de Qudus Onikeku. Deux musiciens et 10 danseur.euse.s seront sur scène. Les festivaliers pourront découvrir le chantier documentaire Laboratoire poison, qui « embrasse la complexité historique de la résistance » (Adeline Rosenstein, Bruxelles). Sous les ordres de Andrew Tay et Stephen Thompson, dans le décor d’une vraie fausse exposition muséale, une troupe défilera le temps d’un fashion show subversif, question de déconstruire les stéréotypes (Make Banana Cry, Toronto-Nice). Oratorio regroupant 9 interprètes afrodescendants, la pièce M’appelle Mohamed Ali de Dieudonné Niangouna reliera l’Afrique et l’Amérique du Nord grâce au boxeur légendaire. Finalement, il faudra se rendre au coeur du Quartier des spectacles pour apercevoir un aquarium géant, une sculpture vivante : Holoscenes. L’oeuvre, gratuite, évoque les changements climatiques en déjouant le registre de la catastrophe.
Le dévoilement complet se fera le mardi 22 mars.
Le festival sévira en intérieur et extérieur du 25 mai au 9 juin 2022.
