(critique) Paysages de Papier : de fougue et de féérie

Depuis deux décennies, la chorégraphe Estelle Clareton conçoit des œuvres qui cherchent à interpeller les spectatrices et spectateurs avec, pour reprendre ses mots, un « désir de scruter les liens élastiques, instables, invisibles, dangereux, que l’on tisse avec l’autre », tel qu’on peut le lire sur son site creationsestelleclareton.com.