FTA 2022 : Laboratoire poison – Une question de perception

Comment se fabrique un traître? Un héros? Qu’est-ce qui distingue l’un de l’autre? Où trace-t-on la limite qui, une fois franchie, transforme soit en l’un, soit en l’autre? Sur le vaste plateau du Théâtre Jean-Duceppe, la conceptrice, autrice et metteuse en scène suisse Adeline Rosenstein et ses onze camarades et interprètes tentent quelques pistes de réponses pour démystifier le processus par lequel on glorifie un groupe plutôt qu’un autre.

FTA 2022 : Traces – Chère Afrique, je t’écris pour te dire que je t’aime

Un homme, ayant quitté son pays d’Afrique pour l’Europe, revient dans sa patrie après s’être échoué sur les côtes italiennes, où il n’a vécu que la misère. Aujourd’hui, il se tient devant nous et nous adresse des mots d’espoir pour un continent africain fort et digne. En plein coeur d’un festival de danse et de théâtre, la forme narrative de Traces – Discours aux Nations Africaines détonne, mais n’en résonne pas moins avec ferveur et amplitude.

FTA 2022 : The History of Korean Western Theatre : Comprendre pour survivre

Seri, le plus célèbre des cuiseurs à riz du monde entier (selon ses propos) est de retour en ville à l’occasion du FTA avec une nouvelle conférence performative (à ne pas confondre avec le théâtre documentaire, vous êtes prévenus d’entrée de jeu!).

FTA 2022 : Elenit – (Em)portés par le vent

Un vent de fantaisie burlesque – et un vent plutôt fou! – souffle en ce moment sur la grande scène du Théâtre Jean-Duceppe avec le retour en ville du créateur grec Euripides Laskaridis. Après avoir été invité par le FTA à présenter son duo Titans (en 2018), Laskaridis débarque avec Elenit et sa clique bigarrée de 10 personnages iconoclastes.

FTA 2022 : Re:Incarnation – Force de vie

C’est de Lagos, ville-cité du Nigéria, que nous vient cette année le spectacle d’ouverture du Festival TransAmériques. Première production du continent africain à le faire depuis la création du festival, Re:Incarnation signe aussi la première présence du chorégraphe Qudus Onikeku au FTA. D’où, en partie, l’énergie électrique qui parcourait la salle et la scène du Théâtre Jean-Duceppe hier au moment où les lumières ont baissé et les premières notes de musique ont résonné.